• Les vacances de pâque sont terminés, les crabes les plus chanceux retournent dans leur trous et maintenant, retour aux choses sérieuses.

    Nous savons que le sol Martiniquais est pollué par ce fameux « chlordécone » et une rumeur laisserait entendre que nos réputés crabes de pâques ne furent pas épargnés par cette tragédie car eux aussi furent "chlordéconés".
    A l'heure du MATOUTOU CRABE, des centaines de Martiniquais mangèrent des crabes à toutes les sauces sans se soucier de quoique ce soit ; de toutes les façons : « Sa zié pa wè tchiè pa ka fè mal ! »
    Eh puis ! Soyons juste un peu patient des conséquences sur l'avenir.
    Peut-être de nouvelles pathologies naîtrons et/ou de nouveaux anticorps.
    Nous pourrons enfin boires des bidons de chlordécone sans s'intoxiquer.... Qui sait ?
    Mon coup de gueule à ce sujet, c'est que tout le monde s'en fou et tout le monde s'empoisonne à faible dose de part la consommation des fruits et légumes... et peut-être aussi vous qui me lisez !


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  • Une vie de chien !!

    Si vous ne le savez pas, eh bien ! Je vous confirme qu'aux Antilles comme partout ailleurs il y a aussi des Sans Domiciles Fixes. Alors, ne soyez pas surpris d'en voir un ou deux qui vous demanderont deux à trois de sous afin de vaquer à leurs occupations.

    Mais ! ce qui me dérange le plus, c'est que le SDF, n'est plus le toxico du coin, mais de plus en plus de noble gens faute d'avoir perdu leur travail, procès ou autre trucs de la vie courant et  se retrouvent sans ressource et surtout sans toit.

    Le plus inquiétant dans l'histoire, c'est l'accroissement des salariés avec des revenus de misère dite « salaire de pauvreté » qui se voient de plus en plus en marge de la société et qui habitent sous les ponts, dans les ghettos et autres, faute de logement et de pouvoir subvenir à leurs besoins.
    La logique est que ; nous aussi sommes des SDF potentiels car le coût de la vie ne cesse d'augmenter, nous ne sommes pas à l'abrit d'un licenciement ni d'un éventuel coup dur.

    L'heure est à la réflexion, sommes nous à la merci d'une politique en perte de vitesse ?

     


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